Bayrou aime la France !!!

Publié le par Gaullisme et Démocratie

Contrairement aux mauvaises langues qui prétendaient qu'il n'aimait pas la France -que par idéologie européïste il était prêt à faire de notre pays une simple région de la super nation européenne- François Bayrou prouve qu'au contraire il reste très attaché à son pays, après avoir condamné la perte de souveraineté de notre budget, l'accord PS-Verts qui prévoit la suppression du siège permanent de la France à l'ONU, le président du MoDem défend les produits français et souhaite favoriser à la consommation des produits de notre pays.

François Bayrou montre, une fois de plus, après avoir annoncé les dangers de l'augmentation de la dette publique en 2007, qu'il est sans doute l'un des seuls à avoir encore les pieds sur terres et à pouvoir rassembler les français sur un programme réaliste et cohérent. Nous invitons les gaullistes à faire le bon choix pour la présidentielle.

 

Voici pour résumer, un article d'Alexandre Sulzer publié sur le site "20minutes"

EUROSCEPTICISME - En temps de crise, le candidat privilégie l'échelle nationale...

Plus chauvin, tu meurs. A l’occasion de ses vœux à la presse mardi, François Bayrou a troqué ses habits d’Européen convaincu pour ceux d'eurosceptique affiché.

Devant un panneau tricolore et sur une estrade où manquait le drapeau européen, le candidat du MoDem a confié son malaise : «je vis mal, comme beaucoup de Français qui ont mis tant de foi dans l’idée européenne, l’actuelle dérive de l’Union. Je vis mal que soit donnée l’impression d’une fragilité de la France vis-à-vis de l’Allemagne.»

Avec des accents presque souverainistes, François Bayrou a défendu avec véhémence le «produire en France» et s’est attaqué à ses détracteurs. «Il est un fait essentiel que tous ces esprits négligent: la solidarité est uniquement nationale. Elle n’est financée que par les ressources de notre pays, pas des pays voisins, même européens. ( …) Notre système de santé et de retraite n’est financé que par les cotisations sociales qui ne proviennent que du travail réalisé en France. »

Il a ensuite invité les nombreux journalistes à savourer vins rouges, tomes, saint-féliciens et autres crottins. Des produits bien nationaux.

 Alexandre Sulzer

Publié dans Démocratie

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